Aujourd’hui, la grande famille Gardium compte plus de 2400 membres. Certains d’entre eux contribuent à l’essor de l’entreprise depuis un bon bout de temps maintenant. Parmi ces employés de longue date, nous retrouvons Luc Gauthier, sergent dans la division Rover, à qui nous avons posé quelques questions, dans le but de vous le faire découvrir.

Parlez-nous de votre parcours.

J’ai commencé dans le domaine de la sécurité en 1999 au sein d’une compagnie qui n’existe plus aujourd’hui. J’ai vraiment adoré mon expérience dans ce milieu.

Puis, j’ai rejoint Gardium en 2008. C’est donc ma 13^e année dans la compagnie. J’ai fait mes débuts dans le secteur de Saint-Eustache où j’agissais en tant que patrouilleur administratif. J’étais en quelques sortes les yeux de l’administration lors des quarts de nuit. J’allais voir les agents sur les différents sites pour m’assurer que tout allait bien. Ce n’est pas le même principe d’un client mystère puisque je portais un uniforme.

Depuis, j’ai pratiquement touché à tous les domaines de la sécurité, à l’exception des enquêtes. J’ai travaillé dans des usines et dans des mines du Grand Nord, fait de la patrouille d’aéroports et de bâtiments gouvernementaux (provinciaux), de la prévention des pertes, de la gestion de conflits de travail, de la protection lors de grands galas, de l’escorte de transport de valeurs et même de la vidéosurveillance!

Qu’est-ce qui vous a mené chez Gardium?

J’avais un ami qui y travaillait. J’ai effectué quelques recherches et j’ai aimé l’image que la compagnie projetait, c’est ce que je recherchais chez un employeur dans le domaine de la sécurité. Gardium présentait les mêmes valeurs que mon ancienne compagnie, alors je les ai approchés.

Gardium est à l’écoute. À l’époque, j’habitais à Mont-Laurier et j’avais un projet. Je voulais créer un bureau pour faire de la patrouille dans les Hautes-Laurentides et, dès le départ, j’ai partagé cette idée avec Gardium. À ce jour, le projet ne s’est pas encore réalisé, mais l’idée avait été bien reçue et j’avais beaucoup apprécié.

Aussi, le processus d’embauche avait été très rapide! Je me souviens avoir passé l’entrevue le vendredi aux bureaux de Gardium. C’était pour un poste à Saint-Eustache. Après l’entrevue, j’ai fait quelques appels pour me trouver une option de logement là-bas. Avant même de quitter, le président Dany Laflamme m’a demandé si je pouvais commencer dès le dimanche soir. Ç’a été un très beau départ, j’ai adoré!

Quel est votre rôle actuel?

Je suis sergent dans la division Rover, une équipe volante en quelque sorte.

L’objectif de cette division est de combler des demandes de dernière minute, des absences à des postes qui demandent des compétences spécifiques ou des postes vacants.

Mon poste me demande donc d’être disponible en tout temps et de suivre différentes formations spécialisées pour pouvoir intervenir dans une multitude de situations.

Par exemple, nous avons un client dans le domaine de l’électronique. J’ai fait le processus interne et les formations comme si j’étais un nouvel agent qui allait travailler pour cette entreprise à temps plein.

Il s’agit d’un gros contrat où nous devons effectuer entre autres de la garde, du contrôle d’accès, de la vidéosurveillance, de la gestion du stationnement et de la patrouille à pied. Chaque quart de travail nécessite 4 ou 5 agents.

En cas d’absence ou durant les vacances, nous avons besoin de remplaçants à l’externe, car nos effectifs réguliers ne peuvent assurer ces remplacements. Les agents envoyés en remplacement doivent être aptes à naviguer dans le système informatique pour activer la carte d’accès temporaire pour un employé qui aurait perdu la sienne ou pour identifier un véhicule stationné sur les lieux par exemple.

Le client a besoin de personnel formé à ses besoins et c’est ce que la division Rover permet!

Que préférez-vous de votre poste actuel?

Je dirais la polyvalence. D’une journée à l’autre, ce n’est jamais la même chose et c’est particulièrement motivant.

Quelles sont vos principales forces en tant qu’employé?

J’ai déjà évoqué la polyvalence, mais c’est indispensable dans mon rôle actuel.

Je fais preuve de beaucoup de flexibilité, tant au niveau des tâches qu’au niveau des horaires de travail. J’ai la chance de ne pas avoir de problèmes de sommeil, donc je n’ai aucune difficulté à prendre des quarts de nuit.

Et aussi, les gens qui me connaissent le savent, je suis très ponctuel, même que j’arrive souvent à l’avance. Pour l’anecdote, c’est déjà arrivé qu’on s’inquiète parce que je n’étais pas arrivé 10 minutes avant le début de mon quart!

J’ai une attitude positive et je suis toujours prêt à aider. J’ai beaucoup de difficulté à dire non, surtout quand vient le temps de dépanner.

J’ai été inspiré par les paroles de Dany Laflamme. Il disait de voir Gardium comme si c’était notre propre compagnie et c’est ce qui me guide pour toujours faire de mon mieux.

Que diriez-vous pour convaincre un proche de rejoindre Gardium?

L’équipe de direction fait preuve de beaucoup de respect auprès de ses agents. Elle agit avec un certain côté paternel, tel un «bon père de famille». On ne se sert jamais du matricule pour parler des employés, mais bien de leur prénom ou de leur nom. C’est quelque chose qui compte énormément pour moi.

Dans la dernière année, j’ai une cousine qui a perdu son emploi en raison de la crise. Après lui avoir parlé de Gardium, j’ai recommandé sa candidature. Environ 30 minutes plus tard, c’était réglé! Cela témoigne de la confiance qui règne au sein de la compagnie.

Quelles sont vos aspirations pour les prochaines années?

Je veux poursuivre mon ascension au sein de Gardium.

J’ai aussi toujours en tête mon projet de patrouille à Mont-Laurier. Qui sait? Peut-être qu’il se concrétisera!

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